Le croiseur se posa en douceur.
On s’équipa d’arme légère de type B, qui était autorisé pour les membres de certaines armées, en raison des attaques de vandales.
Malgré ma condition de fraudeur recyclé, je ne pouvais m’empêché d’exposé fièrement mon Badge en or et narium.
- Fais gaffe, me chuchota Bacchus, tes chevilles vont devenir trop petite pour ta tète.
- Très amusant, répondit je d’un ton sarcastique. Ferme-la un peu et concentre toi.
Pendant que nous avancions je réfléchissais au meilleur vendeur susceptible de nous refilez du thorium.
- Bien, commençai je. Ce marché est une vraie nébuleuse infectée de pirates. Soyez sur vos gardes ! On trouve de tout : Pickpocket, Brigand, mendiant… La première chose est de toujours restée group…
- Bah ça alors ! S’écria Janny.
- Quoi ? Demandais je irrité par cette coupure.
- Regardez moi ce matériel informatique ! Il faut que j’en achète !
- Non attend Janny on est pas là pour ça…
Inutile. Elle était déjà rentrée dans le magasin. Je soupirai de contrariété.
- Bon ensuite, continuais je, quand nous serons devant le marchand nous devrons resté efficace, ici on a à faire à de véritables arnaqueurs et…
- Génial ! Me coupa Bacchus.
- Je te demande pardon ? Demandais je interloqué.
- Enfin un bar, et j’ai soif !
- On travaille là ! M’écriais je de fureur.
- Rien à foutre, tu m’as dit que la prochaine fois qu’on s’arrêterait je pourrais boire, et puis si Janny prend une pause moi aussi !
- J’avais dit sur la prochaine planète et puis… Il était déjà entré dans le bar. Prend la ta pause, vas y ! Criais je dans le vide.
Je me tournais vers le droïde.
- Eh bien JJ, il ne reste plus que toi et m…
- J’ai besoin de nouvelle mise à jour et de nouveaux matériels, dit il de sa voix mécanique.
- Quoi ?! Mais ce n’est pas possible, vous avez décidé de me rendre fou !
Il entra dans la boutique.
- C’est ça ! Foutez le camps, laissez moi seul ! Je n’ai pas besoin de vous, j’ai déjà réglé des affaires dans ce genre ! JE LE TROUVERAIS CE THORIUM DE MERDE !
Je ne me rendais pas compte que j’hurlais, aussi m’étonnais je de voir tous les regards tournés vers moi.
- Quoi ? Demandais je en criant. Vous voulez que je vous ponde du plasma ou quoi ?! Foutez moi le camp !
La foule se dispersa.
Quelque chose tira ma manche.
- Excusé moi monsieur.
C’était une petite créature qui m’arrivait aux genoux. Je ne pouvais l’identifié à cause de sa cape qui recouvrait tout son corps.
- Tu me veux quoi toi ?
- J’ai entendu que vous recherchiez du thorium.
- Comment le sais tu ? Tu m’espionnes ?
- Pas besoin de vous espionné, vous l’avez crié tellement fort que je suis sûr que toute la station l’a entendu.
- Ah oui, tu n’as pas tord.
- Je peux vous aidé.
Je fis un reniflement dédaigneux.
- En quoi un mendiant pourrait m’être utile ? Répliquais je d’un ton cassant.
- Vous vous fiez trop aux apparences, répondit il d’un ton zen.
- Oh désolé, dans ce cas je me corrige : En quoi une stupide réplique de Yoda pourrait m’aidé ?
- Yoda ? Vous voulez parlé de cet être totalement absurde qui était dans ce film en seulement deux dimensions qui date de la préhistoire : Stars Wars ?
- Euh houai…
Il soupira.
- Vous êtes bien un humain… Mais on s’écarte du sujet. Je peux vous aidé à avoir du thorium. Seulement, avez-vous assez d’argent ?
- Ce n’est pas un problème.
- Dans ce cas suivez moi.
Ce que je fis. Il se déplaçait incroyablement vite pour une petite créature, à tel point que je me demandais s’il n’était pas monté sur roue.
Il s’arrêta devant une porte, frappa quelque coup avec une cadence précise, et une fois la porte ouverte, me dit d’avancer.
J’hésitais à entrer. C’était sombre, et les paroles de mon professeur d’académie me revenait : « Ne jamais, et je dis bien jamais, entrer dans un bâtiment non sécurisé !!! C’est une notion de base et vous devrez l’apprendre par cœur si vous voulez devenir soldat ! ». J’avais laissé tombé ce métier, mais la notion comptait toujours. Mais voilà, comme un con je pris le risque, comme un con j’entrai dans le bâtiment, et comme un con je me fis assommé…
La douleur était insupportable, j’avais l’impression que ma tète recevait des coups de matraque à impulsion électrique. J’essayais de m’attrapé la tète avec les mains, mais elles étaient lié par quelque chose de froid.
J’ignorais où j’étais.
J’ouvris les yeux pour les refermer quasi instantanément. La pièce était sombre mais on avait braqué un projecteur droit sur moi.
Mes ravisseurs abaissèrent un peu la lumière pour me permettre de voir.
Des petites taches de couleurs, d’eu au coup, apparaissaient devant mes yeux.
- Où ‘ui ‘ ‘e ? Essayai je d’articulé, mais le coup avait altéré mon langage.
Personne ne me répondit.
- Où suis je ? Réussi je enfin à dire.
- Ça n’a pas d’importance… Répondit une voix froide mais familière.
C’était celle de la petite créature, mais elle avait changé de ton, elle était devenue arrogante, sadique…
- Qu’est-ce qui se passe ?
Je ne voyais rien, mais je sentis qu’on se déplaçait dans la pièce.
- Espèce de pourriture de l’espace ! Tu me dégoûtes. Tu pensais t’en tirer comme ça ? Cracha la créature.
- Mais de quoi vous parlez ?
- Tu es bien l’un de ces vauriens qui achète à bas prix pour revendre à prix d’or.
- Je l’étais…
- A cause de toi les marchands se ruinent parce qu’on pourrais vendre plus cher, vous proposé une concurrence souvent insurmontable et vous procurez des armes lointaine, ce qui à entraîné notre perte.
- Je ne le suis plus ! Maintenant je suis au service de l’empire Sylnaïen…
- Qu’importe ! Me coupa t’il. Vous l’étiez et vous avez contribué à notre défaite !
Je compris enfin.
- Ah je vois, vous êtes un ancien de la Coopératives du Commerce.
- Exactement. Et à cause de vous, elle s’est dissoute.
- Ce sont les empires qui en ont eu assez de votre pseudo dictature, ils vous ont fait la guerre, nous n’avons eu qu’à les aider. C’était que justice. Il faut vous y faire désormais, ce n’est plus la coopérative qui contrôle la galaxie…
- SILENCE !! Cria t’il.
Un géant s’approcha de moi et me frappa.
- A cause de vous notre empire est mort, à cause de vous des marchands se sont ruinés, et à cause de vous j’ai perdu quasiment tous mes membres !!
La dernière réplique me laissa des sueurs froides. Quasiment tous ses membres ? C’était quoi cette histoire.
Un cliquetis se fit entendre et se rapprocha de moi.
- Regardez. Regardez un peu ce que vous m’avez fait.
Je regardais au sol. Soudain une chose horrible sortit de l’ombre et me fit crier. Crier, ou plutôt hurler.
C’était une tète posé sur un châssis en forme d’araignée, d’où le cliquetis et la grande vitesse. Où était passé son corps ? La tète était de forme humaine avec un nez écrasé et un front bosselé.
- Non… Vous ne pouvez pas être…
- Glerc Hundaï. Si. L’attaque de mon vaisseau ne m’aura pas laissé sans séquelles. Vous voulez savoir comment j’ai survécu, n’est-ce pas ? Je mourais, et ma garde a eu l’idée de me placer dans une cellule cryogénique en attendant les soins appropriés. Seulement mon corps était fichu, alors ils ont créé un robot capable de remplacé mon système vital et de faire vivre ma tète. Grâce à la nanotechnologie cela est très réduit. Alors ça vous plaie ?
- Je ne suis pas responsable de ça ! Criai je, pris de terreur.
- Vous croyez ? Répliqua t’il de manière glacé. L’empire qui m’a détruit se nomme Sylnaï.
Une sueur froide me coula dans le dos.
- M… Mais… Bégayai je.
- L’empire auquel vous travaillé désormais. Mais peu importe, ce n’est pas à eux que j’en veux, mais à vous. En effet, j’ai appris que cette empire avait souvent des contacts avec des gens comme vous, et que c’est vous qu’il leur avez fournit les armes…
- Mais arrêté de délirer ! Coupai je, affolé. Même si on leur à vendu des armes ce n’est pas notre faute s’ils les ont utilisé contre vous ! On n’a jamais dit « voici des armes, détruisez la coopérative » ! JAMAIS !
Glerc ricana. Le fait de me voir apeuré le remplissait de joie.
- Voyons tout cela n’était pas innocent, continua t’il d’un ton toujours froid, vous vous doutiez de leur utilisation, que ce soit pour la coopérative ou pour massacré un peuple. Vous n’en aviez rien à foutre ! La seule chose qui était important à vos yeux c’était l’argent, toujours l’argent ! Je me suis juré de tuer toute cette pourriture si j’en avez l’occasion !
Le géant de tout à l’heure sortit de l’ombre à son tour et braqua un générateur sonique droit sur moi.
- TUE LE !
Je vit une boule sonique se formé dans l’appareil, et au moment de sortir une grande explosion ravagea la porte.
Un éclair traversa la pièce et vint frappé l’homme de main en plein dans la poitrine. Celui-ci fut projeté contre le mur du fond, et l’arme vola jusqu’à renversé le projecteur.
Des explosions de lumières aveuglantes se propagèrent dans la pièce. Je sentit que quelqu’un me détachait, puis me tira par le bras pour m’inciter à courir.
Ce ne fut qu’une fois dehors que je vis qui était mon sauveur…